• K2 (la suite)

    Il y a de cela quelques temps, nous avions brièvement entamé la description d'un K2

     

    Nous vous avons donc expliqué brièvement que dès lors que des charges électriques étaient en mouvement, que ce soit dans un fil électrique ou dans l'air, cela induisait un champs électromagnétique. Mesurer ce champs électromagnétique revient donc à mesurer le mouvement de charges électriques. Ainsi, un simple fil de cuivre placé dans l'air pourrait servir d'antenne pour mesurer les charges électriques qui s'y déplacent. C'est exactement ce que fait le K2.

     

    De quoi est constitué un K2 traditionnel

     

    Nous venons de voir que le K2 mesurait les charges électriques environnantes. Certaines de ces charges sont très fortes et puissantes, au point d'être dangereuses pour les êtres vivants, d'autres sont très faibles et difficilement mesurables. Quand on démonte un K2 (Oui on l'a fait pour que vous n'ayez pas à le faire), on se rend compte que le seul circuit intégré présent, en terme d'électronique est LM324N. Ce circuit n'est autre qu'un petit amplificateur de signal. Cela aura pour conséquence de capter des champs électromagnétiques assez faibles, en considérant que les entités, lors de leurs déplacements, développent de faibles champs électromagnétiques.

     

    Vue de l'intérieur d'un K2

     

     


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